Couple

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Couple : Êtes-vous vraiment complices ?

La complicité, c’est la cerise sur le gâteau d’une relation joliment menée. Et le gage de sa durée. Mais ce n’est pas parce qu’on fait les quatre cents coups ensemble qu’on crée cette merveilleuse proximité. Un coup d’œil sur notre check-list, et vous saurez si vous faites partie des privilégiées !

On est complices

QUAND ON PARTAGE

Tout juste : lui, il aime le tennis, vous l’équitation. Il est concert, vous préférez la lecture. Pas évident de trouver un terrain d’entente. Pourtant, en discutant, ou parfois par hasard, vous vous découvrez des goûts communs : collection des vinyles de Bob Marley, soirée canapé-po-corn et films d’action, et pourquoi pas… shopping (il adore les beaux vêtements !). Et puis, quand tout le monde part à la mer en été, vous êtes deux à défendre farouchement les vacances en altitude. Aimer (ou détester) quelque chose ensemble, il n’y pas mieux pour resserrer les liens.

Tout faux : tous les jours après les cours ou le boulot, rendez-vous avec la bande de copains. Là, rituel : échange de musique à télécharger ou autres. Le samedi idem : ciné, puis tous en boîte. Programme calé, pas de temps mort, et l’assurance d’être toujours ensemble. Or, se côtoyer n’apporte rien en matière de complicité. Dans le masse du groupe, pas d’échange personnelle, et des activités tout sauf actives. Une fois par mois minimum, décidez d’un programme « spécial nous deux » pour enclencher une nouvelle dynamique.

On est complices

QUAND ON S’ECOUTE

Tout juste : parfois c’est lui qui parle, parfois c’est vous. La discussion s’enchaîne tellement bien qu’on dirait qu’elle est minutée (vous chronométrez ou quoi ?). Surtout, vous savez reconnaître d’instinct quand l’un a plus besoin de s’exprimer que l’autre, parce qu’il en a gros sur le cœur, ou parce qu’il meurt d’envie de vos raconter la dernière qui lui est arrivée. Encore mieux, les mots deviennent inutiles. Un regard, et vous savez ce que l’autre pense. Ou pas. Mais ce n’est pas gênant car vous sentez à l’unisson, en parfaite harmonie. Bravo !

Tout faux : lui et vous en pleine discussion, ça ressemble à un débat politique à la télé avec des intervenants qui se coupent sans cesse la parole. Chacun veut imposer son point de vue et se faire entendre. « Oui, mais au moins, on échange », rétorquez-vous ! Pas si sûr. A la fin de cette pseudo-conversation, savez-vous encore de quoi vous avez parlé ? Non, parce que vous n’avez rien écouté. Pour vous, l’enjeu n’était pas tant le sujet en question que l’envie de vous affirmer. Etre complice, c’est dépasser son petit ego et ses rivalités.

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QUAND ON S’EPAULE

Tout juste : ça paraît évident ! Toi, moi, ensemble et pas que pour le fun, quand arrive une situation compliquée où l’autre flanche. On ne fait pas seulement acte de présence. On s’investie, on essuie sa mauvaise humeur ou sa tristesse. Et on fait la même chose quand les coups durs ne sont pas si durs. C’est moins exaltant, car on n’est plus dans l’urgence. N’empêche, il faut déployer les mêmes trésors de patience. Alors l’autre comprend qu’entre vous deux le ridicule ne tue pas : on peut se confier des trucs même minables. Soulagement !

Tout faux : vous êtes tellement soudés que vous vous suivez dans les moindres délires : un plan qui frise l’illégalité, une aventure qui peut mal tourner… La plus belle preuve d’amour consiste selon vous à exprimer une solidarité inconditionnelle en toutes circonstances. De la complicité, ça ? Non, de la bêtise pur et simple. Amateur de risques, prenez-en de la graine : il est bien plus périlleux de s’opposer à l’autre en lui signifiant un « stop, ça suffit » clair et non négociable, que de l’accompagner aveuglement.

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QUAND ON EST SUR LA MÊME LONGUEUR D’ONDE

Tout juste : je commence une phrase, il la termine. J’ai une chanson dans la tête, il sifflote le même air. Troublant ! Il s’en faut de peu que ça relève de l’intuition ou du sixième sens. En fait, c’est juste l’effet d’une proximité certaine. Un peu comme si on avait grandi ensemble. Faites le test avec votre frère ou votre sœur. Au fil du temps on développe forcément les mêmes références, tout en conservant des caractères très contractés. L’intérêt ? Une communication facilitée, une compréhension instantanée. Ça aide, c’est sûr !

Tout faux : « il est midi trente et je suis sûre qu’il a très faim, c’est dire si je le connais ». Phénoménal ! Vous êtes capable d’anticiper les désirs et les besoins de votre amoureux. Un peu de sérieux. Ce n’est rien de plus que de l’habitude. La complicité, elle est bien plus subtile. Attention, on ne vous demande pas d’être médium, mais d’acquérir au fil du temps une connaissance de vous deux qui ne s’opère que quand on se donne la peine. Comment ? En étant attentif, mieux, réceptif à l’autre.

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EN POURSUIVANT LE MÊME IDEAL

Tout juste : on s’aime, on s’entend à merveille, et on ne s’arrête pas en si bon chemin. La complicité permet de construire plus. Ceux qui en bénéficient sont conscients de leur chance et ils en profitent. Une relation complice crée une synergie qui permet de faire plus, pour soi, mais aussi pour les autres.

Tout faux : on s’aime et on se laisse vivre. La complicité c’est trop rare pour la gâcher. Quand on l’a, il faut la faire fructifier. Elle se nourrit d’action, pas d’ennui, de projets, pas de stagnation. Ce n’est pas en restant dans votre petite bulle d’amour égoïste que vous allez l’alimenter. Il suffit de prendre le temps de réfléchir à ce qui vous fait vibrer tous les deux. Votre sensibilité c’est plutôt aider, créer, protéger ? Vous n’avez plus qu’à vous lancer !

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EN SE FICHANT LA PAIX

Tout juste : votre complicité, elle est intériorisée. A vous voir ensemble, elle ne fait pas de doute, mais sans pourtant que vous l’affichiez. D’ailleurs, on ne vous voit  pas si souvent ensemble. Vous vous laissez un maximum de liberté. Vous cultivez une sorte de relation ventilée en veillant à ne pas vous asphyxier. Pour y parvenir, il faut une confiance réciproque (on n’a pas besoin de se surveiller), et une bonne dose d’intelligence (il ou elle a aussi le droit d’être bien sans moi). C’est chacun de son côté pour mieux se retrouver et tout se raconter.

Tout faux : soudés à la hanche, vous êtes. L’un ne fait jamais un pas sans l’autre. Vous parlez pareil, vous mangez pareil, vivez pareil en véritables siamois. Pire, visuellement, vous faites la paire avec le total look identique. Au secours, des clones ! Ce n’est pas de la complicité, mais quasiment de l’interdépendance qui frise l’incapacité à exister individuellement. Dommage pour votre joli rêve absolu, mais votre relation ne fait pas envie, plutôt pitié. Commencez par vous décocher un peu, mettez de la distance.

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EN N’ETANT PAS PRESSES

Tout juste : l’amour est spontané. Pas la complicité, qui ne relève pas du registre des sentiments, mais plutôt d’une mécanique de la relation. Alors, il faut se montrer patient. Tant mieux, vous n’êtes absolument pas pressés : petits cafouillages, grandes joies, doutes, incertitudes, folie douce, vous intégrez une à une les nouvelles expériences. A chaque fois, c’est une nouvelle étape de passée. Tiens, on se comprend de mieux en mieux. Bizarre, on a envie des mêmes choses au même moment. Bingo !

Tout faux : on s’aime à la folie, plus que tout… Avec ça si on n’est pas complices ! Non. Si l’amour ça se travaille, la complicité se gagne à la sueur de son front. Il faut y mettre du sien. D’abord, on accepte de se découvrir : son parcours, son passé, ses envies, ses centres d’intérêt. Petit à petit on creuse, dans les zones plus reculées dont on accepte moins facilement de parler. On s’enhardit sans envahir, pour mieux cerner l’autre tout en acceptant aussi de se livrer. La complicité c’est uniquement sur la base du donnant-donnant.

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EN S’ACCEPTANT TEL QU’ON EST

Tout juste : la relation idéale comporte des aspérités (des choses dans vos personnalités respectives qui vous hérissent). Tant mieux, parce que, sinon, vous vous ennuieriez ! Vous avez appris à reconnaître ce qui ne vous plaît pas chez l’autre, à en faire abstraction pour ne voir que l’ensemble. Et si vraiment il vous agace avec sa timidité, ses manies débiles, sa maladresse ou son bazar, il vous reste l’humour, signe suprême de complicité.

Tout faux : on s’aime, mais ça pourrait être encore mieux… Au secours !  Quand on commence à vouloir changer les choses, on ne sait plus s’arrêter. Complice, c’est être à l’aise avec ce qui, chez l’autre, nous déplaît ou nous dérange. Ça signifie aussi qu’on fait l’effort d’en parler, sans imposer. En face, il y aura du répondant ou pas. Et d’avance on respecte la décision de l’autre de vouloir ou pas nous accommoder.

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