amulettes talismans arabesUtilisation des amulettes/Djedouel et talismans dans l’incantation et la magie arabe

L’incantation :

L’incantation est un rite oral où on utilise plutôt une semblable phonologie et non les gestes de la magie imitative. Ainsi énoncer un phénomène donné suffit à l’éveiller. Toutefois, on peut exprimer d’une autre manière cet énoncé, non seulement à l’aide d’un geste ou encore d’une parole. Par exemple, l’énonciation peut être sous forme écrite, on peut également le monter à l’aide d’une image. Dans ce cas, le mauvais œil est détourné par un geste de la main lancée en avant où on ouvre totalement les doigts. Puis, au lieu d’adopter ce genre de mouvement, une autre représentation possible est de porter accrochée sur nous par exemple une main en argent.

Les talismans

La talismanie est un rite magique écrit ou imagé ; ainsi précisément le talisman est la chose installée sous diverses influences astrologiques.

Les amulettes qu’on appelle aussi « h’erz, ou encore h’edjâb, aussi appelée ma’âdha, ouad’ah’, noufra » sont utilisées dans un but spécifique ou également pour se protéger contre divers mauvais sorts.

Les amulettes sont utilisées particulièrement par les ententes, face à différents dangers qu’on peut rencontrer. Pour éviter les maladies des animaux, on peut accrocher les amulettes au cou de nos bêtes.    

En général, la formule magique est imprimée sur du papier. Et concernant le papier, en principe les pratiquants utilisent une peau de gazelle à la place du papier, ainsi il semble que cela a bien plus d’effet que d’employer un véritable papier. En ce qui concerne les dessins que l’on imprime dessus, ils sont généralement représentés sous la forme d’un rectangle ou d’un polygone et leur appellation est le « djedouel », un mot arabe qui veut dire « tableau ».

Un autre nom des amulettes est le « khâtem » qui veut dire « signe » ou encore « dessin magique ». D’une part un « h’erz » entier est composé d’une « da’oua » et un « qasam », et d’une autre part il est aussi composé d’un djedouel.

Pour cette amulette, la première ligne représente les sept signes qu’on appelle « sab’a khouâtim ». Ayant une grande réputation dans la magie arabe, on ne connaît pas encore son origine véritable. En effet, les sab’a khouâtim comportent des versets de la Toûra ou Pentateuque de l’Evangile et du Coran. Il semble qu’ils ont des propriétés extraordinaires : une da’a oua a des rapports avec eux. Les sab’a khouâtim sont également nommés khouâtim djeldjeoûtiya. Par ailleurs, ils servent à fabriquer des djedouel particuliers. Parmi ces signes, certains représentent un pentagone étoilé et généralement un hexagone étoilé. La forme en premier étant le pentacle ou « moukhammas » très connu dans le domaine de la magie, et pour la forme d’hexagone, il est pareillement très connu dans le monde arabo-musulman et juif par le nom « khâtem Souleïman » qui veut dire le « sceau de Salomon ».

Les arabo-musulmans ont surement emprunté cet aspect de l’amulette aux Juifs. Cet aspect a donc une influence très importante dans le monde talismanique. Par la suite, une légende constate un entrecroisement des deux yeux en forme de triangle servant à éloigner le mauvais œil. Evidemment c’est une belle théorie, néanmoins jusqu’à maintenant elle ne semble pas encore appuyée exactement.

En réalité, la légende restitue à Salomon, à qui Dieu avait octroyé l’autorité sur les divinités et les bêtes, les extraordinaires possessions de l’hexagone étoilé. Ainsi, Salomon tenait cette figure marquée sur une bague qu’il n’enlève que dans une situation d’impasse, dans ce cas il la confiait à la personne à qui lui inspire confiance. A un moment donné, Salomon a ordonné un démon de fabriquer une statue démontrant le portrait du père de l’une de ses maîtresses qui en fait un vrai culte. Comme punition pour Salomon d’avoir fait faire cette statue, Dieu a donné la permission à un diable de voler le « sceau à Salomon » c’est pourquoi il a perdu instantanément tout son pouvoir, puis après quelques temps il a vu la bague dans le ventre d’un poisson. Les signes imprimés sur le sceau comportaient le « grand nom » de Dieu, à l’instar de ceux qui ont été imprimés sur le cœur d’Adam, affirme El Boûni qui est un des célèbres occultistes arabes. Puis, étant donné que le sceau de Salomon est devenu très populaire partout dans le monde et particulièrement dans toute l’Afrique, d’une part, beaucoup de gens le tiennent dans une amulette et d’autre part ils le gravent sur les portes de leur maison ; et tant d’autres personnes le choisissent en tant que cachet.

Dans le monde de la magie arabo-musulmane, ce ne sont pas seulement les seb’a khouâtim qui sont des lettres impénétrables et énigmatiques. Il ne faut pas oublier que les « caractères à lunettes » décrites par Schwab sont aussi très diffusées.

Selon différents auteurs, les caractères à lunettes sont des signes énigmatiques qui sont relatifs aux noms divins. Elles proviennent directement aux arabo-musulmans de la magie des juifs. Alors, Schwab a dit « qu’ils sont composés, pour la plupart, de plusieurs paires d’yeux, pour symboliser la Providence ». Une affirmation qui est plus ou moins semblable à la théorie qui concerne la provenance du sceau de Salomon qui dit que « l’emploi de l’œil est classique contre le mauvais œil ». Par ailleurs, des textes hébreux présentent les caractères à lunettes qui correspondent aux lettres alphabétiques.

Ainsi, voici les sept lettres alphabétiques : fâ (ف), djîm (ج), chin (ش), thâ (ط), z’â (ظ), khâ (خ) et zîn (س). Les mots « scouâqit’ et fâtih’a » sont les uniques lettres alphabétiques arabe qui n’étant pas intégrées dans les sept versets de la première sourate Coranique. Le nombre de ces lettres est exactement sept. Elles sont donc dotées de vertus magiques particulières amplement analysées par El Boûni.

Les « saouâqit’ et fâtih’a » sont étroitement liés à 7 des 99 noms de Dieu. Ces sept noms sont écrits à la troisième ligne dans le djedouel comme suit « fard » qui veut dire unique ; « djebbâr » qui veut tout-puissant ; « thâbit » qui signifie ; « z’ahîr » ayant la signification d’évident ; « khabîr » qui veut dire vigilant et enfin « zaki » qui signifie pure.

La quatrième ligne comporte sept noms qu’on reconnaît d’emblée comme appartenant à l’angélologie. Il y a d’ailleurs d’autres types énumérés comme suit par « Ibn el Hâdjdj » : « Roûqiâïl, Djebriâïl, Semsemâïl, puis Çerfiâïl, et enfin Aniâïl Kesfiâïl ». On peut retrouver certainement les modèles de noms précédents dans ceux des anges du texte kabbalistique. Ils sont donc des modèles de réplique ou des dérivés : par exemple le nom de « Djabriâïl » est l’homonyme de Djebrâïl qui veut dire Gabriel, Aniâïl correspond à Anael ou Aniel pour les Juifs ; Rouqiâïl correspond à Raqiâel ; Cerfiâïl est le modèle semblable à Serafiel ou encore Ceroufiel. Le nom Kesfiâïl correspond d’une manière un peu vague à Qecefel. Ces noms ne sont d’ailleurs pas à proprement parler des anges ; généralement les ouvrages de magie les désignent comme étant les sept esprits.

Et le nom d’ange est destiné à des êtres spirituels où quatre d’entre eux se distingue et ont le pouvoir envers les autres. On y voit ainsi le nom de Djebrîl ou Djebrâïl qui désigne l’Ange Gabriel, Mîkâïl désignant l’Ange Michel, Isrâfîl comme étant l’Ange Raphaël et ‘Azrâïl pour l’Ange Azraël. Il existe plusieurs amulettes où ces quatre archanges sont présents.

Dans la cinquième ligne, on constate les noms des sept rois des génies : « Moudhhib » ayant la signification de  doreur, « Merra, ‘Ah’mar » qui veut dire rouge, « Borqân » dont la signification est l’illumination de l’éclair, « Chemhoûrech, Abiod’ » qui veut dire blanc, Mîmoûn. Au contraire des noms précédents, ce sont des noms arabes, à part probablement le nom « Chemboûrech » car on n’en connait pas encore la source. Dans le domaine de la magie arabo-musulmane, les noms des sept rois tiennent une place prépondérante.

Et pour les deux dernières lignes de l’amulette : la 6ème renferme les noms des sept jours de la semaine, puis la 7ème comporte les noms des sept planètes tels que « Chems » comme le soleil, « Qamar » qui veut dire lune, « Mirrikh » pour la planète Mars, « ‘Out’ârid » comme étant la planète Mercure, « Mouchtari » pour Jupiter, « Zohra » qui désigne Vénus et enfin « Zouh’al » pour la planète Saturne, en rapport avec les jours de la semaine.

Et comme idée principale, ce djedouel comporte des aspects qui correspondent parfaitement avec les différents éléments comme suit : « seb’a khouâlim, saouâqit’ el fâtih’a », caractéristiques divins, les anges et les démons, les jours de la semaine ainsi que les planètes. Les noms saouâqit’ et fâtih’a sont clairement rendues à ces jours de la semaine et aussi à une planète. De plus, chaque mot est lié à un djedouel particulier servant pour les actions magiques de chaque jour de la semaine. Prenons comme exemple le cas du mot « Z’â » lié à jeudi et en rapport avec Jupiter. Le djedouel particulier de ce mot renferme sept fois les « sept saouâqit’ », d’autres djedouel comporte également sept colonnes dans tous les sens, c’est pourquoi il semble plus qu’évident que le nombre sept revient souvent et qu’il dispose d’une caractéristique magique.

Les rapports que nous avons vu entre les divers éléments du djedouel des « sab’a khouâtim » sont le prototype de l’utilisation des relations mystérieuses, conçues sur des analogies indéfinies, parmi lesquelles la magie, quand elle devient incompréhensible et faisant un excès. De cette manière elle veut se constituer en science, ces rapports cachés qu’elle veut à tout prix installer sont certainement considérés comme des lois. L’excès du raisonnement associatif et totalement imaginatif constituent ses uniques entraves d’aboutissement immédiat à la science véritable. Dans ce cas, on peut conclure que la magie est une science inexacte, néanmoins cela est faux seulement dans le cas où elle tente à se définir en installant des relations persévérantes particulièrement des lois. Au cas où la magie soit seulement une science inexacte, elle est pourtant dans une phase à se définir comme étant une science exacte.

En effet, l’un des buts du djedouel est d’exprimer de façon graphique et d’une manière plus claire, ces rapports cachés et de donner l’accès à l’emploi concurrent de l’influence d’éléments mixtes. Ainsi, le travail du magicien est de réunir la nature complète : il pense que l’univers est perpétuel et on est toujours surpris en voyant les actions des savants actuels qu’on considère en général de vraiment nouvelles et surprenantes.

Les amulettes et talismans arabes

Les amulettes arabes sont construites à l’aide de sachet de cuir ou tissu qu’on coud en général avec du fil jaunâtre ou verdâtre. En effet les choses qu’on y trouve sont parfois des grains de sable ou aussi des grains de terre blanchâtre. On peut également y trouver des versets coraniques ou encore des termes pour invoquer Dieu. Toutes ces matières sont généralement placées dans un bout de papier ou étoffe encaustiquée. Selon les arabes, les amulettes nous permettent de vaincre les maladies, jeter des sorts. Elles nous mettent aussi à l’abri du mauvais œil ou encore des blessures.

Il existe aussi d’autres formes d’amulettes comme les colliers de clous, mais aussi de girofle ou encore des graines aromatisées. En général, ce sont les femmes arabes qui les portent afin de pouvoir soigner les gerçures des seins. Elles utilisent pareillement des feuilles d’arbres particuliers enveloppées dans un petit sachet pour éviter la morsure des serpents.

L’influence du mauvais œil peut tout à fait détruire les vertus des amulettes au cas où on les ouvre en présence d’un profane alors il faut toujours éviter ce genre de situation. C’est pourquoi on les ouvre quand on est certain d’être vraiment seul mais avant il est indispensable de faire des prières et des purifications. Ensuite, on doit associer quelques- unes de ces amulettes avec une ficelle, puis on les suspend autour du cou ou dans les côtés affectés par des maladies. Elles peuvent être accrochées aux cheveux ou cousus à l’intérieur des vêtements. Pour la plupart des femmes arabes, elles les embellissent avec certains grains d’ambre, ainsi que de corail ou de verre. Elles y ajoutent parfois des pendentifs en argent et en fassent des décorations.

Ce sont les marabouts ainsi que les thalebs qui savent fabriquer ces parures et en font des objets de ventes en particulier aux croyants. Au cas où on perd les amulettes, on doit généralement faire un don de bougie pour les thalebs et les marabouts qui nous ont octroyé ces amulettes.

Concernant les caractères qu’on utilise pour les lettres et les mots dans l’amulette, ceux des amulettes sont plus ou moins exceptionnels, spéciaux, sacrés et ont une différence par rapport aux écritures habituelles. En outre, on doit avoir tant de connaissance pour pouvoir lire ces caractères car il semble que la lecture et la compréhension ne sont en aucun cas faciles d’autant plus qu’on ne voit pas de la ponctuation.

Divers noms sont attribués aux amulettes selon leur utilisation, leur ampleur et selon les pays. « Hourze » est le nom des amulettes les plus célèbres et ses vertus consistent en la guérison des maladies et d’ailleurs elles comportent un verset coranique. Les amulettes qui protègent contre les sorciers renferment des grains de terre blanche qui proviennent du tombeau d’un très connu marabout.

Si on veut prévenir les maladies contagieuses, on utilise l’amulette portant le nom de « Djedouel », on l’use également pour se défendre du mauvais œil. Un djedouel se présente comme un cuir où diverses figures magiques rectangulaires et étoilées sont imprimées à la surface externe.

Un Tehellil est une ample collection de versets Coranique les plus efficients, ou aussi des invocations de captiver, sur la personne qui le porte, l’ensemble des grâces divines. Les porteurs du Tehellil l’accrochent en sautoir pour être invincibles.

Cette amulette est couramment utilisée par ceux qui font des pèlerinages pour éviter les coups de feu ou les mauvais borts.  Avant d’utiliser le Tehellil, on fait souvent des tests en l’accrochant autour du cou d’un bœuf ou d’un âne. Puis on fusille ces animaux à bout portant et comme résultat, la balle s’aplatit et ne les atteint pas au cas où l’amulette est parfaitement réalisée.

Voici d’autres noms d’amulettes avec leur vertu respective

On voit par exemple :

  • le talisman d’Andarow qui renferme des versets de la protection.
  • l’amulette « U’jouchan » qui offre de l’inspiration.
  • l’amulette « Mordfana » qui est suivie de sept carrés magiques.
  • L’amulette « VAdfheub » pour maintenir une santé continuellement prospère.

Les sachets qui permettent de soigner les maladies renferment une pâte de préparation particulière profondément enveloppée dans du manuscrit. On y aperçoit certains caractères et signes magiques permettant d’écarter les esprits maléfiques qui ont provoqué cette maladie. D’une manière ou d’une autre, ces sachets sont vraiment luxueux et extrêmement coûteux. Ils sont fabriqués avec du tissu vert avec des bandes jaunâtres et rougeâtres.

Lorsqu’une personne malade arrive au dernier moment, un supérieur thaleb ayant une grande réputation grâce à ses compétences, inscrit certains versets coraniques sur une assiette à l’aide d’une encre constituée d’eau ainsi que de laine brûlée. Puis il verse de l’eau de façon à étaler les caractères et donne le médicament à la personne malade. Si elle le supporte, dans ce cas elle sera encore en vie ; au cas où elle ne supporte pas le médicament, elle va mourir des effets de cette maladie.

« Mohaba » est une amulette qu’on accroche en sautoir et sa vertu est de se faire aimer par quelqu’un.

Par exemple, lorsqu’une femme tente de repousser un homme, ce dernier pense consulter un thaleb. Pour ce faire, le thaleb inscrit différents caractères et traits magiques sur la main droite de l’homme. Ensuite, il va chez la femme et lui montre cette main en déviant la tête, puis il part. Et comme effet, après 5 jours, l’homme rend encore une visite à cette rebelle femme, pour qu’enfin, cette dernière tombe dans ses bras.

Il existe aussi quelques signes qui ont des vertus spécifiques et qui sont en général imprimés sur les sachets en cuir tels que le sceau de Salomon ou encore l’étoile à six branches constituée par deux triangles superposés. Il y a également le signe ayant la forme d’étoile à plusieurs rayons et parfois le signe carré et rectangulaire. L’encre la plus fréquemment utilisée étant de couleur noire, toutefois on emploi également la couleur bleue et jaune ; elle est arrangée avec du safran étendu et du musc.

Les versets du Coran utilisés dans les amulettes

Chapitre CXIII. — L’Aube du jour.

1. Dis : Je cherche un refuge, un préservatif auprès du Seigneur de l’Aube du jour.

2. Contre la méchanceté des êtres qu’il a créés.

3. Contre le mal de la nuit sombre quand elle nous surprend.

4. Contre la méchanceté de celles qui soufflent sur les nœuds.

5. Contre le mal de l’envieux qui nous porte envie.

Ainsi, c’est un chapitre qui nous permet de se protéger contre les calamités qui peuvent arriver à notre corps.

Et le chapitre qui va suivre nous protège contre les menaces de l’âme.

Chapitre CXIV. — Les Hommes.

1. Dis : Je cherche un refuge auprès du Seigneur des Hommes.

2. Roi des Hommes.

3. Dieu des Hommes.

4. Contre la méchanceté de celui qui suggère les mauvaises actions et se dérobe.

5. Qui souffle le mal dans les cœurs des Hommes.

6. Contre les génies et contre les Hommes.

Les versets qui vont suivre sont aussi dispersés dans le Coran.

Dans le Sourate XVI. Verset 100 disant que « Je cherche un refuge auprès de Dieu contre Satan le lapidé ».

Ce verset nous aide à éviter le danger d’énoncer des sacrilèges. Nous devons la réciter avant la prière pour éloigner le Diable.

Puis, dans le Sourate XXIII. Versets 100 et 101 disant que « Seigneur, je recherche un refuge auprès de toi contre les suggestions des démons. Je me réfugie vers toi afin qu’ils n’aient aucun accès auprès de moi ».

Les traductions de certaines amulettes arabes

Selon une affirmation des astrologues, dans le monde de la magie, un esprit se lie avec un autre esprit. Puis dans le domaine talismanique, un esprit se lie avec un corps vivant.

Voici donc certaines lettres aux choix qu’on inscrit sur les amulettes :

«  Au nom de Dieu clément et miséricordieux! Qu’il répande ses grâces sur notre seigneur Mahomet, sur sa famille et ses compagnons, et qu’il leur accorde le salut ! »

« II n’y a point d’autre Dieu que lui, le puissant, le sage. La religion de Dieu est l’Islam 2 ! L’Islam ! L’Islam ! »

« Présentez-vous à la porte de la ville, dirent deux hommes craignant le Seigneur et favorisés de ses grâces, vous ne serez pas plus tôt entres que vous serez vainqueurs! Vainqueurs! Vainqueurs ! »

« Accordez protection et un solide appui, ô mon Dieu ! Au porteur des caractères que je trace, je vous le demande par les mérites de ce verset ».

Coran, sourate III, verset 16.

Coran, sourate III, verset 17.

Coran, sourate V, verset 26.

« Celui qui était mort, et à qui nous avons donné la vie, à qui nous avons donné la lumière pour marcher au milieu des hommes, sera-t-il semblable à celui qui marche dans les ténèbres et qui n’en sortira point. C’est ainsi que les actions des infidèles ont été préparés d’avance. Accordez votre aide, ô mon Dieu! A qui porte cet écrit ».

On nous dit de suivre un carré de cinq cases sur cinq. Dans chacune est une partie de ce passage Coranique : « L’assistance vient de Dieu et la victoire est prochaine ». On remarque ce passage réécrit 5 fois dans la totalité du carré.

Outre les termes que l’on doit lire dans la première rangée de cases, on peut aussi constater dans chacune, un chiffre, réunis et lus de droite à gauche comme suit : 06 247 8. Et comme signification, cela veut dire que : « L’assistance appartient à Dieu ».

Les mots « Talisman efficace » sont inscrits au-dessous de ce carré.

Dans le dos de la feuille, on lit : « Pour obtenir l’assistance», et au-dessous est un pur plagiat du sceau de Salomon.